Barbara Borozan

Un jour, j'ai commencé à peindre en réalisant que "c'est la seule façon pour moi de m'attirer "vers l'autel", c'est-à-dire vers moi-même. Alors, attiré ainsi, je m'étourdis de couleurs, j'engourdis ma conscience, mon ego est brisé. et je parle à cette partie de moi qui n'a pas oublié de rêver. Cette partie de moi est belle, libre et libre d'écrire des biographies. J'aime regarder les papillons, les nuages ​et la lune... quand la vie tourne (ici je veux dire les tragédies et choses laides) cette partie de moi brillait à travers la laideur comme la neige. Mon travail, mon tout, la couleur, les mots et le mouvement sont en quelque sorte le produit de l'interaction avec les visages et les phénomènes qui m'entourent. Un reflet de moi-même que je suis. en essayant de comprendre, cette vieille question sans réponse QUI SUIS-JE ?, elle est toujours l'alpha et l'oméga de ma création. La société comme source inépuisable de matière. L'Homme.
Et les gens.
Ces « Et les gens » m’intéressent particulièrement. À mesure que l’identité de l’individu se perd, la morale et les attitudes de la masse se perdent. Oui, « et les gens » sont également un organisme en soi. Je suis né le 31 mai 1972 à Split, en Croatie.

 Barbara Borozan

Oeuvres pour " l'Exposition Mondiale  Helios"